A l'échelle territoriale de Genève, les distances sont grandes et les espaces décousus. Nos quatre parcours ont pour but de comprendre ainsi que de lire différemment le territoire. Pouvons-nous créer de nouveaux liens à travers ces affections éparses et diverses qui jonchent l'ensemble des terres que nous allons parcourir ?
C'est à travers l'étude de notre database que nous tentons d'élaborer cette nouvelle approche à grande échelle. Prendre conscience qu'il est possible de lire avec logiquement, de tisser un fil rouge dans les mailles de nos terres. Cette première démarche se trouve à travers nos quatre parcours dépliés individuels élaborés à l'aide de la technique d'André Ourednik. Pareillement, le parcours territorial final est définit à la suite de l'analyse de ces quatre propositions initiales et, comme nous pourrons le voir, se lie finalement à travers un mot clés.




Parcours dépliés respectivement de Luana & Manon
Notre parcours finale se constitue d'une zone de chaque parcours individuels. Il a pour but et analyse de percevoir et de comprendre le territoire comme une épaisseur variée qui se contractent en un lieux principale: la zone de notre performance qui se situe sur un croisement routier de l'axe de Meyrin. Les références qui le composent se dotent aussi d'un document sonore afin de lier l'auditif à la perception d'une densité. Rechercher au-delà du visuel ce qui la constitue.
Nous souhaitons comprendre ce qui forment la densité, comment des réponses territoriales à petites échelles émergent de cette métathèse et quelles places et impacts l'homme peut avoir sur ces articulations urbanistiques.
Superposition des parcours dépliés individuels sur la carte du territoire Genevois
Planche représentant notre parcours déplié commun issu des individuels